Jeudi 14 mars : cours ok ou pas ? Je ne le saurai qu'à la dernière minute... (lycéens au cinéma).
Lundi 18 mars : spectacle au lycée (L'homme qui flotte) de 15h à 17h. Cours de 17 à 18.
Jeudi 21 mars : cours ok
Jeudi 28 mars : cours ok
Jeudi 28 mars : spectacle au Bateau Feu à Dunkerque. Départ du lycée à 17h. Retour 21h45/22h.
Jeudi 04 avril : cours ok
Jeudi 11 avril : cours ok
Jeudi 18 avril : spectacle au Théâtre monsigny. RDV sur place à 14h. Retour puis fin du cours jusque 18h00
>>>>> VACANCES DE PRINTEMPS
Jeudi 09 mai : pas de cours (férié)
Jeudi 16 mai : cours ok - intervention de
Marie
Jeudi 23 mai : cours ok - intervention de Marie
Vendredi 24 mai : Paris - cinémathèque, Cluny, Comédie-Française
Jeudi 30 mai : cours ok - intervention de Marie
mercredi 05 : répétition au Carré Sam (horaires à préciser)
Jeudi 06 juin : présentation de travaux (14h et 20h)
Jeudi 11 janvier : séance 11 - intervention de Marie
Mardi 16 janvier : sortie à la Comédie de Béthune avec les Terminales ; départ : 18h, retour vers 23h30
Spectacle : Qui a besoin du Ciel ? présenté ici
Jeudi 18 janvier : séance 12
Jeudi 25 janvier : séance 13 - intervention de Marie
Jeudi 01 février : séance 14
Jeudi 08 février : pas de cours (stage)
Jeudi 15 février : séance 15
Jeudi 22 février : séance 16
Dans une petite ville ouvrière, au cœur des années 80, Wilda et Annette partagent un secret au sujet du PDG de Kentucky Aluminium. S’il ne veut pas perdre la face, ce dernier a tout intérêt à acheter – très cher – le silence de Wilda. Au fil d’un récit écrit pour neuf personnages et mené tambour battant par ces deux femmes, la pièce évoque une société où l’individualisme le plus mortifère se heurte à des liens indéfectibles de solidarité, et où le désespoir peut se transformer en hymne à la résistance.
Magda, sur la plage de Calais, dénoue ses cheveux immensément longs. Ils tombent sur son dos et s’étalent dans les flots, vivants. Ils sont le lien avec les voix de ceux que les eaux ont digérés, ceux dont les corps se délitent dans les profondeurs de la Méditerranée car leurs canots pneumatiques de fortune ont coulé lors d’une traversée pleine d’espoir. Et puis il y a cette voix, particulière, de cet homme qui flotte encore, qui appelle la jeune fille au secours et lui saisit les tripes, tragédie grecque du moment. Baptiste, son frère est là lui-aussi, noyé sous les montagnes de journaux qui affichent les chiffres des naufragés et pas même un nom. Archimède de Syracuse, hors temps, explique : les corps qui se noient suivent un processus précis de putréfaction… Il y a Antigone, de l’autre côté, à Lesbos ; les survivants et les naufragés qui disent pour qu’on raconte leur histoire. Pour Magda, se couper les cheveux serait une solution, s’isoler et vivre aveugle, sourde et peut-être sereine. Mais elle n’est pas une empathique apathique, ignorer cette voix serait un assassinat.
la sphère des réseaux sociaux est un passage quasi obligatoire. Comment grandit-on dans un environnement d’hyper exposition ? Que nous raconte ce besoin de reconnaissance et d’existence aux yeux des autres ? Comment faire la part des choses entre ce qu’on décide de partager et ce qui nous échappe ?
C’est une journée particulière. Une journée en famille où, enfin, Louis revient, lui que l’on a n’a pas vu depuis si longtemps, qui a donné si peu de nouvelles.
Ce fils, ce frère, arrive le matin de ce dimanche commun, rendu tout à coup si exceptionnel, joyeux et plein d’espoir par sa venue. Il repart le soir, sans avoir réussi à dire cette chose grave qu’il était venu annoncer. Leur dire à eux, sa famille, si proche et si loin.
Il y a cet amour familial, rendu étrange par un monde qui les sépare, et cette envie de se faire entendre, de crier…
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